Arrivé à 7h30 avec des palettes vides. Un kariste est arrivé et nous a dit d'entrer dans le champ D et d'ouvrir 2 côtés. Ayant déjà ouvert la première, un autre cariste arrive et dit que de telles palettes (en plastique) seront déchargées par la rampe de la rue. J'ai fermé le côté et suis passé sous la rampe indiquée. Le deuxième kariste revient et me dit d'apporter les documents au bureau. Au bureau, une femme insatisfaite de la vie m'a dit que mon déchargement était prévu à 10h00. Je dis que je suis déjà debout sur la rampe et prêt à décharger. Elle a commencé à crier, a crié à la carista à la radio et j'ai été expulsée vers le parking pour attendre mon heure. C'est juste dur ! Pour qu'elle aille chez les médecins comme ça !
Ici, les gens commencent à travailler par une pause café et cigarette. Celui qui télécharge n'a pas de travail, il y va très lentement et attend que la journée passe. Après, chaque camion est déchargé très lentement et entre dans la pause.
Préparez-vous à sécuriser l'eau avec 13 sangles, avec 26 coins. C’est une sorte de folie après 7 ans de travail, attacher de l’eau sur des palettes dans des emballages souples, c’est quelque chose. Même chez Coca Cola, une telle folie n'existe pas. J'y ai travaillé pendant un an.
Une visite très intéressante par une jeune femme qu'on sent passionnée par son entreprise.
La vue en hauteur sur l'usine et les explications de notre guide donnent bien le tempo de la production depuis la préforme en plastique jusqu'à la mise en palette pour la livraison.
Le tourisme industriel est très intéressant et permet souvent d'apprendre des choses qu'on ne connaît pas. C'est le cas en visitant cette usine. Bravo Mesdames.